In de Revue Britannique van Augustus 1879 worden, onder het hoofd “Chronique et Bulletin Bibliographique”, eenige regels gewijd aan den toen in den acclimatatie-tuin te Parijs zich bevindenden orang-oetan. Onder meer, zegt de schrijver: “Par exemple la vue de l’orang-oetan sera une déception véritable pour ceux qui espéraient reconnaître en lui un de leurs ancêtres; la distance qui sépare ces grands singes do l’homme est profonde et infranchissable; on a sous les yeux une brute dans toute l’acception du terme, sorte de pieuvre gigantesque, destinée à se mouvoir dans les branchages de forêts épaisses, et dont toute la démarche à terre est aussi pénible que celle d’un poisson échoué sur le sable”. Geheel anders luidt het oordeel van SCHOPENHAUER daar, waar hij een orang-oetan, in een der duitsche diergaarden, beschrijft als een wezen, staande op de grens der menschheid.