Depuis les recherches de Schoene et Hoffmann (1949) sur les propriétés physiologiques de l’hydrazide maléique de nombreux auteurs ont étudié les effets de cette substance et ont émis différentes hypothèses sur son mode d’action. Schoene et Hoffmann (1949) avaient signalé que l’hydrazide maléique est un inhibiteur. L’inhibition, qui augmentait avec la concentration, était temporaire et la plante, tomate ou maïs, ne semblait pas subir de dommage définitif. Plus le développement de la plante était avancé, moins l’action inhibitrice de l’hydrazide maléique se manifestait.

Acta botanica neerlandica

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Koninklijke Nederlandse Botanische Vereniging

Zoia Kulescha. (1955). Action de l’hydrazide maléique sur la teneur en auxine des tissus de topinambour cultivés en présence de diverses substances de division. Acta botanica neerlandica, 4(3), 404–409.