En 1894, H. Bâillon (Bull. Mens, de la Soc. Linn. de Paris II, p. 1149) décrit une nouvelle plante de Madagascar, Geosiris aphylla, qui d après sa couleur et son aspect général faisait penser à la famille des Burmanniacées. Mais, comme il remarquait, non seulement que les 3 anthères ne se conformaient pas à celles des Burmanniacées dans leur forme, les anthères sont superposées aux sépales et non aux pétales ainsi qu’en est le cas chez les Burmanniacées qui possèdent 3 étamines. Selon la forme et selon la place des étamines 1? a f 11 o n pensait alors avoir à faire avec une représentante de la tamule des Iridacées dépourvue de chlorophylle. La construction des rieurs et surtout celle du gynécée se rapprochent le plus fortegroupe d’. ‘ Aristea et ses affinités bien qu’on trouve ici toujours moins d’ovules. En 1895, Bâillon traitait dans le tome 13016 de 1’ „Histoire cs Elantes” les Iridacées. Il classifiait le genre Geosiris 1 _ . AilUUVWVOi XX ViUOÜU XX*X k. IV AV1UV NJKVJU »Ü à la série des Indeae, , des herbes rarement ligneuses aux rhizomes ou aux HuX?,rcules3 caractérisée par la régulièrité de ses fleurs et la forme iiterente des pétales et des sépales, des étamines libres ou monaelphes, placées régulièrement autour du centre; et à la sous-série Aristeae, ayant des fleurs solitaires ou en grappes de cymes et les rameaux stylaires simples, courts ou étroits, ordinairement non dll«es au sommet.