En publiant les lignes suivantes, qu’il me soit permis de me ressouvenir du concours, que j’ai eu à apprécier pendant l’année dernière de la part de mile C. E. Destrée. Maintes espèces rares ou nouvelles pour notre flore, recueillies aux environs de la Haye, m’ont été addressées par elle, pendant ce laps de temps, avec une rare assiduité. J’ose espérer que ces envois ne me feront pas défaut en 1888, et que le numéro suivant de mes Contributions mycologiques me donnera une seconde fois l’occasion de gratifier la dite dame, tout en espérant que le succès de ses études prochaines égalera celui de l’année passée.